Depuis la fin des années 90, la souffrance psychique a été identifiée comme une priorité au sein de certains quartiers, particulièrement touchés par les inégalités sociales et économiques. Ainsi, les contrats de ville, et les ateliers santé ville, dans le cadre de la politique de la ville, ont investi cette thématique. Parallèlement, les contrats locaux de santé ou les conseils locaux de santé mentale (CLSM) cherchent à prendre en compte les enjeux singuliers des territoires, notamment ceux des quartiers « prioritaires ».

De quoi parle-t-on lorsqu’on parle des enjeux de santé mentale dans les quartiers qualifiés de « prioritaires » ? Au-delà des dispositifs, comment créer des dynamiques territoriales favorables permettant de prendre en compte les enjeux repérés ? Quelles sont les articulations et continuités possibles entre les différents cadres d’intervention ?

Cette journée vise à éclairer ces différents enjeux et à sensibiliser l’ensemble des acteurs de la région Grand Est concernés, plus particulièrement à l’échelle de la politique de la ville.

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